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Je cherche sans cesse une chose à laquelle me raccrocher, en vain. Tout reste désespérément vide.

16 avril 2014

Le 16/04/2014

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Ecrire. Ecrire. Ecrire encore et encore, en espérant me débarasser de toutes ces pensées parasites. Mais elles persistent, elles sont là, de jour comme de nuit, elles me hantent. Le monde me paraît froid, sombre, sans âme. Ce sont elles qui me le font voir ainsi, avec une lucidité que d'autres n'ont pas, comme si je venais de me réveiller après un rêve doux, magique. Je me retrouve seule face à cette immensité incompréhensible que la science tente d'expliquer.

La VIE. Qu'est-ce donc si ce n'est un assemblage ingénieux d'atomes formant les cellules qui constituent les êtres-vivant ? Que faisons nous ici hormis tuer le temps entre la naissance et la mort ? Certains serviront Dieu, certains donneront un semblant de sens à leur vie en la passant à aider les autres histoire de se sentir utile, important, d'autres encore tenteront d'amasser le plus de richesses afin de connaître le pouvoir de l'argent... Mais comment vivre en sachant que nous sommes éphémères, que nos actes seront oubliés, que nous le serons nous-mêmes d'ici quelques siècles, comme si nous n'avions jamais existé ? A quoi bon "donner un sens à sa vie" si c'est pour finir sous terre entre quatre planches, bouffés par les vers ?

Le temps passe et je reste là, à flotter, comme un fantôme, comme si la vie ne me concernait plus. Elle a perdu son charme, son innocence et tout son sens. D'ailleurs le mot vie lui-même semble insensé, absurde. Je suis perdue, ne sachant plus ce que l'on attend de moi. J'ai oublié le mode d'emploi. Alors j'attends. J'attends que le temps passe. Parlons-en du temps. Quel concept terrifiant. Face à lui, nous sommes tellement impuissants... Je pense aux années passées et me demande parfois si je les ai vraiment vécu. Aujourd'hui, j'agis comme un robot, regardant les jours défiler, sachant que jamais plus je ne vivrais hier. Et cela m'est égal car notre seule perspective est la mort. Peut-être que choisir de partir est le meilleur choix que l'on puisse faire dans la vie.

De toute façon, qu'y a-t-il après la mort ? Y a-t-il au moins quelque chose ? Qui peut affirmer quoi que ce soit à ce sujet ? Personne n'est jamais revenu d'entre les morts (ne parlons pas des NDE). Finalement, la mort nous sépare de la réalité, nous n'avons plus conscience de ce qui se passe sur Terre, alors pourquoi s'inquiéter de ceux qui restent ? Peut-être ne les revoit-on même jamais. Cela peut paraître égoïste, et ça l'est assurément, mais je m'en fous. Toute notre vie, nous sommes en équilibre sur une corde raide suspendue au-dessus du vide. Ces dernières années, je perds sérieusement l'équilibre, un pied sur la corde, l'autre dans le vide. J'attends le coup de vent qui me fera tomber.

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21 mai 2013

Le 21 mai 2013

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J'aimerais pouvoir un jour dire sincèrement "Tout va bien, je suis heureuse et épanouie".

Hélas, je n'imagine pas un jour pouvoir ressentir un bien-être réel, encore moins un état de plénitude et d'extase. Je navigue à travers le temps, sans but, trainant derrière moi mes idées noires solidement attachées à ma cheville.

 

Lorsque tu étais là, auprès de moi, lorsque tu me prenais tendrement dans tes bras, que tu déposais un doux baiser sur mon front, je me sentais invincible, capable du meilleur et j'oubliais toute la tristesse qui me hantait. Tu me rendais forte, heureuse. Tu étais le centre de mon existence et je te regardais, les yeux pleins d'admiration, m'offrant entièrement à toi, te donnant tout mon amour, toute ma tendresse. Pour toi, j'aurais décroché la Lune, car tu méritais la perfection et je me dévouais pour te l'offrir jour après jour.

Tu étais la raison pour laquelle je me levais chaque matin. Toi seul parvenait à dessiner un sourire franc sur mon visage et à faire pétiller mes yeux de bonheur.

Je reste pendue au souvenir de ton regard mystérieux, hypnotisant et bienveillant qui valait tout les "je t'aime" du monde. J'entends encore ta voix douce, envoutante qui apaisait ma souffrance silencieuse. Je sens encore le goût délicieux de tes lèvres contre les miennes, le contact de tes doigts sur ma peau, en parcourant chaque parcelle. J'étais fascinée par ta beauté, par ton charme énigmatique.

Je n'avais peur que d'une seule chose : te perdre.

Tu as ouvert une blessure profonde et douloureuse. Une blessure qui ne se refermera probablement jamais.

18 mai 2013

Le 18 mai 2013

 

Je ne me souviens même plus à quand remonte la dernière fois où tu as daigné féliciter, encourager ou complimenter l'un de tes deux enfants. Ne comprends-tu donc pas que nous avons besoin de ton approbation, de ton admiration ? Que devons-nous faire pour que tu sois fier de nous ? Tu nous as si souvent dévalorisé, physiquement, intellectuellement. Le faire devant d'autres personnes ne t'a jamais dérangé. Nous ne serons jamais assez beaux, assez minces, assez brillants. Peut-être ne t'en es-tu jamais rendu compte, peut-être n'était-ce pas ton intention, mais tu m'as à maintes reprises profondément blessée.

Je n'espère même plus un geste de tendresse venant de toi... Ni même une parole agréable, touchante.

Tes enfants, nous, pauvres petits êtres imparfaits, semblons te décevoir chaque jour un peu plus, comme si nous n'étions pas digne d'être le fruit de ta petite personne. Mais Papa, tu n'as rien de plus que tous les hommes de ce monde. Tu es basé sur le même modèle qu'eux. Cependant, tu aurais pu t'en démarquer en étant un père exceptionnel, un père regardant chaque jour avec fierté ses enfants, quels qu'ils soient devenus. La seule chose que tu sembles parvenir à éprouver à notre égard est un mépris désolant, une grave déception. Même ton chien compte davantage que tes enfants...

Tu parviens encore à me reprocher de ne pas avoir confiance en moi mais réfléchis, cher père, tu en es l'une des causes. Tu t'étonnes de mon mal-être permanent. Tu t'agaces de mes crises de boulimie lors desquelles j'avale des kilos de nourriture sans le moindre plaisir jusqu'à ce que mon estomac soit sur le point d'exploser. Tu ne comprends pas que je puisse haïr la vie. Mais lorsqu'un père ne semble pas être heureux de l'être, lorsqu'il n'y a dans son regard, pas une once de fierté pour ses enfants, lorsqu'il n'est pas capable de les aimer ou de le leur montrer, est-ce si étonnant ?

Tu n'es bien évidemment pas la seule source de mes maux, Papa mais tu y as contribué. D'année en année, petit à petit, je me suis renfermée, confortée dans cette impression constante de décevoir...

Malgré tout, Papa, je t'aime et je ferais tout pour qu'un jour tu sois fier de ta petite fille...

14 mai 2013

Le 14 mai 2013

 

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J'espérais que tu sois différent. Et tu m'as déçue. J'ai avidement cru à tes belles paroles. Mais elles n'étaient que mensonge et manipulation.

J'avais soif d'affection, tu en as profité. Tu as usé de ton intelligence et de ma faiblesse pour me manipuler comme un vulgaire un pantin. Tu as inconsciemment tiré les ficelles, j'ai suivi les gestes que tu m'imposais. Tu as su toucher les points sensibles de mon esprit, tu le faisais en sachant le mal que tu m'infligeais. Mais tout était prévu. Tu savais qu'éveiller les maux passés me feraient tomber dans tes bras. Pour une nuit sans lendemain. Encore une fois.

J'ai naïvement cru que tu pourrais me guérir du passé, que tu étais celui qui me réconcilierait avec l'amour. J'espérais que tu me ferais avancer, que la vie serait plus belle grâce à toi.

Quelle conne.

21 avril 2013

Le 21 Avril 2013

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Je n'en peux plus, je suis à bout, hantée par cette persistante envie de crever pour ne plus assister à la dégradation de ce monde abject dans lequel je n'ai pas ma place. La vie est un fardeau, un boulet accroché par une énorme chaîne en fer épais, impossible à couper, à scier ou à faire exploser. Je suis contrainte à rester sur cette Terre, à vivre une vie terne, fade et sans but. Evidemment, je pourrais très bien prendre le fusil de mon père et me le foutre contre la tempe; me taillader profondément les veines avec la lame d'un cutter ou d'un rasoir; me jeter du haut de la Tour Eiffel ou de la Tour Montparnasse afin d'avoir une vue convenable avant d'acceuillir la mort; me pendre; faire une OD d'héroïne ou de meth'. Mais je pense à ma famille, à mes parents surtout. Ils perdent patience, je le sais. J'entends souvent mon père dire qu'il en a marre que je reste enfermée toute seule, que je bouffe SA glace dans ma piaule, toute seule, que je ne sorte plus, que je ne participe pas aux tâches ménagères... Ce qu'il ne comprend pas, c'est que je ne peux pas. Je ne parviens pas à trouver la force pour affronter qui que ce soit ou quoi que ce soit et de bouger mon gros cul.

Et puis merde ! Jamais je ne leur ai demandé de se soucier de moi, du fait que je ne mange pas à table avec eux, du fait que je veuille rester seule, seule, seule, SEULE ! Jamais je ne leur ai demandé de s'inquiéter du fait que je ne sorte plus de ma chambre que pour aller pisser et ramener de la bouffe dans ma chambre pour n'avoir à supporter personne et me goinfrer en paix ! Jamais je ne leur ai demandé de s'en faire parce que je ne prends plus soin de moi, que je me néglige totalement, que je traine toujours en jogging et que je ne me lave qu'un jour sur deux ! JAMAIS !

Je l'ai expliqué à celui qui me sert de père ! Enfin, j'ai tenté de lui expliquer en partie POURQUOI j'étais comme ça, pourquoi la vie me paraissait minable et insipide. Seulement depuis ce jour là, il ne cherche même plus à comprendre. Comme s'il ne me prenait pas au sérieux. Comme si le fait que je me rende compte du fléau humain qui gangraine la Terre n'était qu'un caprice d'une petite merdeuse qui cherche à attirer l'attention... Mais lui, il ne le voit pas, il voit un but à son triste passage ici car après, il y a le paradis. Comme quoi, la foi rend heureux et permet de surmonter les pires conneries. Sauf qu'il faut parfois ouvrir les yeux et se rendre compte que l'on vit dans une société de merde.

Mais voilà Papa, t'es vraiment un mauvais père parfois tu sais ? Lorsque tu parles à ta mère de moi, lorsque tu lui dis que je commence à te faire chier avec mes conneries, lorsque tu lui expliques les choses à ta façon, avec des mots sans âme, sans fond, alors que je suis dans la pièce voisine, tu n'imagines à quel point tu me blesses. Que tu essaies de me faire croire que la vie est belle, comme tous les autres à dire qu'elle est un cadeau est probablement le pire...

Tu sais Papa, je songe de plus en plus à vous quitter tous. En fait non, je songe de plus en plus à te quitter TOI et malheureusement par adéquation, maman et Antoine... Je ne vous ferais ainsi plus souffrir, vous n'aurez plus à vous INQUIETER, tu pourras bouffer ta précieuse glace tout seul cher Papa. Comme j'aimerais vous libérer de ce poids... Néanmoins, j'aimerais que cela soit immédiat, que je n'ai pas le temps de tergiverser, de penser à vous parce que je sais comme souffrent les parents dont l'enfant s'est foutu en l'air. Et Maman, je sais que tu ne t'en remettrais pas. C'est pour toi que je continue à errer comme un zombie sans âme dans la maison.

Il y a bien longtemps que je ne te l'ai pas dit maman, et tu ne le croirais peut-être pas mais je t'aime. Je t'aime tant. Je ne te le montre pas, te repousse, refuse ton aide et le moindre dialogue, mais je t'aime nom d'un chien !

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29 mars 2013

Le 29 Mars 2013

 

Puta*n. J'ai envie d'en finir, envie de partir et tout laisser derrière moi. Je n'en peux plus de toute cette mascarade. Je n'en peux plus de toutes ces conneries, de toutes ces futilités. Il y a des personnes qui ne sont pas faites pour vivre et j'en suis. Evidemment, bien trop peu de personnes sont aptes à comprendre ce genre de chose. Pour la plupart d'entre elles, la vie est un cadeau précieux, un don qu'il ne faut pas gâcher. Bien sûr, et mon c*l, c'est du poulet ? La religion est simplement une façon pour les hommes d'expliquer ce qu'il ne peuvent pas expliquer, c'est aussi ce qui leur permet de s'accrocher et de croire qu'il existe un but à l'existence. Je respecte les pratiquants, seulement, je n'y crois pas. Et n'y croirais surement jamais car rien n'est rationnel. 

Combien de personnes ne comprennent pas que l'on puisse détester vivre ? Combien de fois m'a-t-on dit de regarder autour de moi ? De regarder ces malades qui luttent au quotidien, ces sans-abris, ces hommes qui meurent de faim ? Merde. Je les ai vu ces pauvres gens et j'admire leur courage. Mais rien ne les empêche de partir s'ils le souhaitent. Seulement, ils ont quelque chose que je n'ai plus, l'espoir. L'espoir que le futur soit plus clément, l'espoir d'aller mieux, l'espoir de vivre. Pourquoi est-ce si difficile d'imaginer qu'un homme puisse vouloir arrêter de se complaire dans sa situation d'humain minable ?

Mais j'ai peur. Peur d'avoir mal. Peur de lamentablement me rater. Et c'est sans doute la seule chose qui retienne la plupart des hommes : la peur de souffrir. 

Allez vous faire f*utre.

21 mars 2013

Le 21 Mars 2013

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Laissez-moi seule. Laissez-moi tranquille. Après tout, je ne suis rien. Faites comme si je n'étais qu'un meuble devant lequel on passe chaque jour sans y prendre garde ou un arbre quelconque sur votre route. C'est l'unique chose que je demande. Pourquoi devrais-je participer aux babillages inutiles que vous vous infligez toute la journée ? Je n'ai rien à dire. RIEN.

Malgré tout, mon état de mutisme et de léthargie me fait souffrir autant que vous, papa, maman. Je m'en veux de faire subir cela à des personnes si extraordinaires. Vous méritez tellement mieux. Mais vous êtes l'unique raison pour laquelle je suis encore en vie à l'heure qu'il est. Si vous veniez à disparaître, je ne le supporterais pas et je me foutrais en l'air. Plus rien ne me retiendra sur cette Terre minable, je ne devrais plus rien à personne alors je pourrais crever en paix. Or pour l'instant, vous êtes là, plein de desespoir par ma faute, mais bien en vie. Alors je me force pour vous, pour ne pas vous faire de mal, à ne pas me mettre un fusil sur la tempe ou me pendre dans les bois.

Jamais vous ne lirez cela, papa, maman, je le sais, je ne suis pas si naïve. Seulement, je ne peux pas vous exprimer tout mon amour, je ne le peux pas, pas pour l'instant. Alors cela me fait du bien, je m'adresse à vous, sans m'adresser à vous. N'oubliez jamais, JAMAIS, que je vous aime plus que tout, plus que la vie et plus que la mort. C'est pour vous que je vis, uniquement pour vous.

 

19 mars 2013

Le 19 Mars 2013

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Dix-neuf ans, assise à contempler l'extérieur depuis ma fenêtre, j'attends patiemment que le temps passe. J'étouffe le gazouilli des oiseaux (eh oui, le printemps arrive), les voitures qui passent et le rire des enfants par des chansons à faire pleurer Ghislaine Arabian. Vous savez ces morceaux qui nous touchent au plus profond de notre être et nous rendent plus tristes encore que nous ne le sommes déjà.

Soit. Depuis trois ans, j'attends que la grande dame en noir vienne me prendre par la main et qu'elle m'emmène loin... Quelle tristesse me direz-vous, de voir la vie de cette façon. Oui, je ne le nie pas. Mais je n'ai pas choisi. Je n'ai pas choisi de me poser toutes ces questions quant au but de notre passage sur Terre, ni de voir l'existence comme un fardeau que l'on traine tant bien que mal jusqu'à la mort. Croyez-moi, j'aurai préféré vivre comme une imbécile heureuse, ne pas me rendre compte de la futilité de l'existence, de son absence d'intérêt. Mais la vie est hélas, une énorme plaisanterie.

Selon bien des personnes, qui se basent sur la superficialité, j'ai tout, TOUT, pour être heureuse. Seulement, lorsque je sais ce à quoi nous sommes voués, j'aurais de loin préféré être un chat, dormir toute la journée, manger, me faire caresser et ronronner. Ou bien n'être jamais née et ainsi ne pas m'être rendre compte de tout cela. Mais par respect pour ceux qui m'ont élevée et aimée, tant qu'ils seront là, je ne peux me résoudre à m'ôter la vie. Même si je me dis que sans moi, bien que triste un moment, une fois le deuil fait, ma famille serait bien plus épanouie. Evidemment, il ne faut pas se voiler la face, je suis un boulet. Un énorme boulet qu'ils doivent se coltiner chaque jour, voir errer dans la maison, tel un cafard trop malin pour se laisser écraser.

Je ne sais pas ce que nous trouvons une fois morts, quoi qu'il en soit, cela sera toujours un soulagement en comparaison de ce que nous vivons au quotidien. Parce que la vie... Oui, qu'est-ce la vie ? On nait. On bouffe. On dort. On étudie jusqu'à saturation pour décrocher un boulot convenable (=gagner de l'argent=être "heureux"). On bouffe. On dort. On travaille jusqu'à l'épuisement pour nourrir les siens qui suivent le même schéma (≠plaisir=gagner de l'argent=être "heureux). On bouffe. Et puis on crève. La gueule ouverte, fripés, ridés, rouillés, éxténués par 50 ans de dur labeur. Toutes ces années passées à contribuer à l'expansion du capitalisme, à la destruction du monde et au déclin de notre société sont récompensées par une retraite misérable et un aller simple en maison de retraite où l'on devient sénile et où l'on meurt seul face à nous-même et dans notre pisse à petit-feu. Eh oui, on se retrouve tous égaux une fois vieux et inutiles à l'économie. Evidemment, certains sont mieux lotis que d'autres mais sur sept milliards d'Hommes, seul un minuscule pour cent pourra prétendre à une retraite dorée. 

En sommes, nous sommes TOUS programmés ainsi à la naissance. Notre destin est tout tracé. Même si nous prenons des chemins légèrement différents, un jour vient où nous nous retrouvons sur la longue route qui mène à la fin. 

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Je cherche sans cesse une chose à laquelle me raccrocher, en vain. Tout reste désespérément vide.
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